Dans la continuité des pèlerinages chinois, nous sommes partis direction le Mont Tai au nord de la ville, dans la province de Shandong. Haut de 1545 mètres, elle fait partie des cinq montagnes sacrées du pays et est la plus vénérée de toutes.
Les 12 colonnes sur cette photo représente les 12 empereurs chinois qui ont gravit la montagne. Les pèlerinages se font depuis 3000 ans.
Fait étonnant : lors de notre passage dans un petit tunnel entre le dépôt du mini bus et la montée de la montagne, des femmes vendaient leurs marchandises à l’aide d’un micro. Cela leur permet d’attirer le touriste et lui vendre en tête-à-tête son produit en ventant ses mérites. L’inconvénient est qu’elles ne parlent que le chinois, difficile pour nous de les comprendre et de nous laisser séduire.
Le défi : une ascension de 5000 marches afin d’attenindre le sommet où se trouve un temple en l’honneur de l’empereur.
Sur toute la durée du parcours, des commerces de ravitaillement et des boutiques de souvenirs proposent des objets similaires, à la manière du Mont-Saint-Michel, jumelée avec la montagne Tai.
À chaque arrêt dans une cahute, le commerçant est serviable et chaleureux pour aider à gravir les marches restantes (bouteilles d’eau, pastèque, concombre). Seulement, pour approvisionner ces boutiques, des hommes à pied portent sur les épaules des charges relativement lourdes.
Petite anecdote : le chemin n’est pas seulement emprunté par les humains, les mulets tentent aussi l’aventure !
Nos héros du jour sont Victor, Thibaut, David H, Léo, David B, Hélène et Mavrick, les seuls à avoir réussi l’impossible ! 41 minutes pour le premier contre 2h30 annoncées par le guide.
À 12h nous sommes allés déjeuner dès ravioles avant de prendre la route pour Bizhou (4h de car).
- Une concession se situait à l’intérieur du complexe
- Il était possible de jouer aux machines similaires aux fêtes foraines
- Dans le supermarché, les rayons étaient mélangés sans ordre logique commencé en France. Dès l’arrivée, les promotions de gâteaux côtoient les tablettes numériques, puis vient le textile avec les livres pour enfants, s’en suit les chaussures avec les produits de beauté. Il n’est pas facile de s’y retrouver : y’a t-il un parcours particulier en Chine différent de celui des français ?